Bientôt cependant, les affranchis ou libres se rendirent compte que les Français ne les considéreraient jamais comme des égaux. Ils virent aussi que la France essayait de rétablir l’esclavage après avoir aboli cette pratique dans un décret. Alors, les affranchis comprirent que les dirigeants de France ne tenaient pas parole. Ils se dirent que les Français pourraient décider de les mépriser et de les traiter, à nouveau, comme des inférieurs. Certains affranchis avaient aussi des demi-frères et sœurs, des cousins et cousines, des tantes ou oncles qui allaient être remis en esclavage. Ceci les indigna.